Qista vous protège des moustiques et participe à la préservation de l’environnement en optant pour une démoustication propre.
Votre partenaire contre les rongeurs
Garantie d’hygiène, de sécurité et d’écologie grâce à la non-utilisation de poisons et substances nocives, mais au simple emploi d’appâts alimentaires.
La technologie Cryonite à votre service
La technique consiste à « geler » les insectes grâce à la projection de dioxyde de carbone à une température extrêmement basse.
La solution radicale pour l’élimination des punaises de lit
Vapeur à haute température avec une solution d’acide peracétique faiblement dosée. Ceci garantit l’innocuité pour l’opérateur, validée en conformité avec les normes européennes.
Qista vous protège des moustiques et participe à la préservation de l’environnement en optant pour une démoustication propre.
Votre partenaire contre les rongeurs
Garantie d’hygiène, de sécurité et d’écologie grâce à la non-utilisation de poisons et substances nocives, mais au simple emploi d’appâts alimentaires.
La technologie Cryonite à votre service
La technique consiste à « geler » les insectes grâce à la projection de dioxyde de carbone à une température extrêmement basse.
La solution radicale pour l’élimination des punaises de lit
Vapeur à haute température avec une solution d’acide peracétique faiblement dosée. Ceci garantit l’innocuité pour l’opérateur, validée en conformité avec les normes européennes.
Le chikungunya ne se propage pas tout seul. Il dépend d’un vecteur : le moustique tigre. Ce moustique, nous l’accueillons souvent sans le savoir dans un coin de cour, une gouttière mal entretenue, une jardinière oubliée ou un bac mal vidé.
Alors que l’épidémie bat toujours son plein sur l’île, la meilleure réponse reste entre nos mains : empêcher la prolifération du moustique à la source. Ce n’est ni compliqué, ni inaccessible. Mais, cela suppose une vigilance constante, chez soi comme dans son environnement professionnel.
À La Réunion, le moustique vecteur du chikungunya (Aedes albopictus) se reproduit dans de très faibles volumes d’eau stagnante. Une capsule de bouteille retournée, un dessous de pot de fleurs ou un jouet sur l’herbe peuvent devenir des foyers larvaires en moins d’une semaine.
Ces moustiques ont un rayon d’action de 100 à 150 mètres. Autrement dit, le moustique qui vous pique est né chez vous, ou juste à côté.
Les récipients oubliés
Les plantes et leurs supports
Les gouttières et rigoles
Les récupérateurs d’eau
Les déchets verts et encombrants
Une entreprise est rarement pensée comme un lieu à risque de moustiques. Pourtant, les parkings, les zones de stockage, les toitures plates, les zones techniques, les jardins, les chantiers regorgent de contenants oubliés et de creux propices aux larves.
Ce que chaque entreprise devrait faire :
Inspecter chaque semaine :
Organiser l’évacuation :
Sensibiliser les équipes :
Mobiliser des spécialistes si nécessaire :
Il ne s’agit pas de tout inspecter au quotidien. Mais, instaurer un rituel hebdomadaire de vérification, seul ou en famille, à heure fixe (ex. le samedi matin) suffit à couper les cycles de reproduction.
Même chose en entreprise : une ronde rapide, un registre d’observation, une alerte en cas de suspicion peuvent faire toute la différence.
Un moustique pond jusqu’à 350 œufs en un mois. Si vous laissez un point d’eau non traité, vous devenez, sans le vouloir, un foyer de propagation du virus. Ce n’est pas une affaire privée. C’est une responsabilité partagée.
Dans les communes les plus touchées — Saint-Paul, Le Tampon, Saint-Denis — les analyses entomologiques montrent que la majorité des moustiques se développent en milieu domestique ou péri-domestique (source : ARS La Réunion, bulletin semaine 18).
Au 27 mai 2025, on compte :
Malgré une légère baisse des cas depuis mi-avril, la menace persiste : tant que les moustiques prolifèrent, le virus circule.
Oui, en grande partie. 80 % de la prévention repose sur la suppression des eaux stagnantes. Les insecticides ou les larvicides ne sont que des compléments à utiliser :
En résumé :
Le moustique ne se développe pas loin. Il se développe chez vous.
Le chikungunya n’est pas qu’un problème de santé publique, c’est un enjeu de gestion du quotidien.
Protéger sa maison et son entreprise, ce n’est pas “faire un effort”, c’est empêcher qu’un virus évitable devienne une tragédie évitable. Et, lorsque la situation l’exige — en particulier pour les grandes surfaces, les zones techniques complexes ou les sites fortement exposés — il est vivement recommandé de faire appel à une entreprise spécialisée dans la démoustication. Ces professionnels tels que BHL disposent des équipements, des traitements et de l’expertise nécessaires pour intervenir efficacement, sans nuire à l’environnement ni à la santé publique. Leur rôle vient en appui des gestes du quotidien : ils sécurisent, complètent et accélèrent la rupture des cycles de prolifération.